L'Association des Cyclotouristes du Florival
Photos et comptes-rendus
Sorties du 2 juillet
Sortie à Strasbourg
Un petit groupe de l'ACTF a rejoint la capitale alsacienne par la route des vins, avec retour par la plaine le long du canal du Rhône au Rhin.
Départ matinal, 7h de Soultz, pour un retour aux alentours de 18h30, avec une bonne pause à Strasbourg pour voir la cathédrale, faire le plein d'eau aux fontaines publiques prévues à cet effet et se poser un peu en terrasse.
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Au départ à Soultz
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Première pause à Pfaffenheim où nous retrouvons Nadège, Jean-Luc et Dominique qui s'inscrivent pour faire la cyclo montagnarde des Vosges.
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Après Bergheim, où la terrasse d'une pâtisserie nous a permis de faire un petit arrêt bien agréable, Jean-Claude s'en est retourné chez lui comme c'était prévu. Il aura fait une "petite sortie" d'une bonne centaine de kilomètres. -
Sur la route du vin, avec la vue sur le château du Haut-Koenigsbourg.
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Dans Molsheim.
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Sur la piste cyclable qui longe le canal de la Bruche. Très bel itinéraire qui mène de Molsheim au centre de Strasbourg.
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Devant les ponts couverts dans le quartier de la Petite France.
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Une pause bien méritée.
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Retour par la piste cyclable le long du canal du Rhône au Rhin.
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Le parcours.
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La pâtisserie n'ayant plus de viennoiserie à nous proposer, la patronne nous a offert un excellent pain aux noisettes et raisins pour accompagner notre café.
Cette sortie longue, 218 km pour 950 de D+, est devenue un classique puisque nous la mettons régulièrement à notre programme. Il faut dire qu'elle conjugue plusieurs atouts, une première moitié intéressante d'un point de vue touristique, une belle destination, la ville de Strasbourg, pas trop de dénivelé compte tenu de la distance, un profil plat et très ombragé sur la deuxième partie du parcours.
C'est une belle façon de s'essayer à la longue distance, bravo aux participants et plus particulèrement à Frédéric qui n'avait jamais dépassé 120 km lors d'une sortie vélo.
La citation du moment :
Comme la marche, le vélo est un pied de nez aux valeurs ultralibérales de nos sociétés contemporaines. Il appelle à la sensation du monde, à la lenteur, à la nonchalance, au sentiment d'être vivant. Il immerge en permanence au sein de la sensorialité du monde, aux odeurs, aux paysages, aux sons environnants. Il est aussi une manière tranquille de réenchanter la durée et l'espace.David Le Breton En roue libre